top of page

Rôle de Papagena - Die Zauberflöte, Mozart

 

"Si le rôle de Papagena est assez court, il suffit à Caroline Meng pour faire apprécier sa voix profonde et chaleureuse et donner l’envie de l’écouter plus longuement. Amusante dans son rôle de composition, sa transformation n’en est que plus remarquée."

- Jocelyne de Nicola, GB operaMagazine, 27/09/19

"Philippe Estèphe trouve en Papagena une Caroline Meng, amusée elle aussi, rouée, gouailleuse, idéale."

- Christian Colombeau, Podcast journal, 27/09/2019

"Papagena est campée par la généreuse mezzo-soprano Caroline Meng. Elle fait nasiller, balbutier et s’épanouir une matière vocale au fruit rouge ou doré, depuis une voix homogène, base confortable d’une ligne délicatement modulée."

- Florence Lethurgez, Olyrix, 25/09/2019

Rôle de Mademoiselle Herpin - Les P'tites Michu, Messager

 

"Dans cette distribution d'excellente tenue,Caroline Meng en directrice de pension nous réjouit d'un timbre corsé et bien ancré."

- Tania Bracq, Forumopera,12/06/18

 

"Caroline Meng est une excellente directrice d'internat, autoritaire et au tempérament bouillant."

- Frédéric Norac,  Musicologie.org, 20/06/18

Rôle de Fiodor - Boris Godounov, Moussorgski

 

"Caroline Meng chante avec autant de sûreté que de séduction son Fiodor."

- Emmanuel Andrieu, Operaonline,16/02/17

 

"Caroline Meng fait valoir la couleur et la rondeur de son timbre ainsi qu’une pétulance gracieuse et juste."

- Maurice Salles, Forumopera,16/02/17

 

"Très à l’aise dans le rôle de Fiodor,Caroline Meng est ce tsarevitch à la voix juvénile qui apporte jeunesse et fraîcheur avec vivacité et musicalité dans une voix de mezzo-soprano timbrée et projetée."

- Jocelyne de Nicola, GB Opera magazine,14/02/17

Messe de Kleinheinz, François Xavier Roth

 

"La mezzo-soprano Caroline Meng dégage une sérénité confiante. Ses graves assurés passent même au-dessous de la voix ténor, tout en restant au-dessus en volume."

- Charles Arden, Olyrix,14/03/17

Rôle du Renard - La Petite Renarde Rusée, Janáček

 

"Aussi profonde est la poésie de Caroline Meng,incarnant le Renard,à la fois tombeur à la fourrure mordorée et amoureux transi, la mezzo-soprano ne démérite pas dans les accents et le lyrisme de son chant." 

- Pedro Octavo Diaz, Classiquenews, 20/04/16

 

"Splendide renard, Caroline Meng a déjà prêté son timbre opulent à de nombreux spectacles baroques, dont l’Egisto de Cavalli, et l’on attend avec impatience de la retrouver dans un rôle de premier plan."

- Laurent Bury, ForumOpera,16/01/16

 

"Très à l’aise, le couple de renards com­posé de Noriko Urata et Caroline Meng se dis­tin­gue dans son émouvant duo, dis­til­lant raf­fi­ne­ment et nuan­ces, sans jamais sacri­fier la dic­tion et la pro­jec­tion  et n’appelle que des éloges."

- Florent Coudeyrat, ConcertoNet,16/01/2016

Il était une fois, Quatuor Giardini & Jodie Devos

 

"L'une des meilleures idées de cet album est d'avoir distribué les rôles à deux jeunes chanteuses talentueuses,à la diction soignée et aux timbres et tempéraments complémentaires. Le mezzo-soprano sombre et chaleureux de Caroline Meng est lunaire."

- Sophie Bourdais, Télérama FFFF, 29/06/16

Rôle d'Ismène - Orpheus, Telemann


" Caroline donne à Ismène sa froideur glaciale correspondant totalement à celle aseptisée de la maison royale. Elle est à proprement parler la créature diabolique de cet opéra, que la chanteuse a été capable d’exprimer de manière remarquable."

- Volkstimme 

Rôle de Dorabella - Cosi Fan Tutte, Mozart 

 

"La distribution est spectaculaire. Dorabella est interprétée par la mezzo-soprano Caroline Meng, coquette, pleine de brio. Sa voix a une belle couleur et elle chante ses parties avec beaucoup de saveur."

- Sabino Pena Arcia, Classiquenews, 29/03/13

Rôle de Tisbé - La Cenerentola, Rossini

 
"Caroline Meng est tout à fait bien dans son rôle de peste un peu caricaturée et joue avec nuance et humour. Sa voix garde une rondeur de son et un timbre agréable même dans l’utilisation comique. Preuve d'une belle technique et d'une grande musicalité."

- Jocelyne De Nicola, GB Opera Magazine, 02/14 

Rôles de Hero et Bellezza - Egisto, Cavalli

 

"Parmi les divines et allégoriques utilités se détache la pulpe de Caroline Meng dans Hero et Bellezza."

- Mehdi Mahdavi, Altamusica, 1/02/12

Rôle de Cesonia - Caligula, Pagliardi

 

"Avec une voix hors pair et un rôle sur mesure pour elle, Caroline Meng campe la dernière femme de Caligula, la sensuelle Cesonia et unit dans son interprétation la puissance et une sensibilité dans la nuance, un phrasé magnifique et coloré et une restitution du texte et de l’émotion remarquables."

- Pedro-Octavio Diaz, Muse Baroque

 

"Au sein de la jeune distribution, ce sont les deux rivales que l'on remarque surtout, dont l'impérieuse et passionnée Cesonia de Caroline Meng." 

- Olivier Rouvière, Diapason, 7/10/11  

 

"Quant aux chanteurs, ils se sont tirés avec honneur de ce périlleux exercice, l'impérieuse impératrice de Caroline Meng en tête."

- Marie-Aude Roux, Le Monde, 11/03/12

 

"Dans le rôle de Cesonia, Caroline Meng est splendide. Son timbre de velours, sa prosodie et sa projection si parfaite, sont un un envoûtement qui fait de Cesonia, le personnage le plus bouleversant de cette fable. Sa jalousie, sa « folie » qui la conduit a quasiment perdre l'homme qu'elle aime, font battre les cœurs et vibrer la corde de nos âmes. Et son lamento final « S'a loccaso... », fait scintiller les larmes qui apaisent et redonnent vie."

- Monique Parmentier, Classiquenews, 22/08/12

Rôle de Didon - Didon et Enée, Purcell

 

"Ann Hallenberg a en effet été remplacée au pied levé par Caroline Meng remarquée dans une Zerlina d’une présence dramatique et vocale inhabituellement forte. La jeune mezzo dans l’impact immédiat d’une voix longue, charnue, projetée, colorée sans effort, un maintien stable, noble déjà, d’une pâte qui ne demande en somme qu’a être modelée avec attention tant elle est rare et précieuse." 

- Mehdi Mahdavi, TCE Altamusica,14/11/09

Rôle de Zerlina - Don Giovanni, Mozart

 

"Caroline Meng est une Zerlina à la sensualité exquise et à la naïveté désarmante."

- Jérémie Szpirglas, SQEY Anaclase, 26/01/09

 

"Chez les femmes, le fort tempérament et le timbre séduisant de Caroline Meng, de format presque trop grand en Zerlina, recueillent tous les suffrages."

- Simon Corley, ConcertNet, 17/02/09

Après avoir obtenu ses premiers prix de piano et de musique de chambre, la mezzo-soprano Caroline Meng étudie auprès de Malcolm Walker et reçoit son DEM de chant. Elle participe également à des masterclasses avec Jennifer Larmore, Veronica Cangemi et Sylvie Valayre.

 

Depuis lors, Caroline Meng a chanté en France et à l'étranger, dans une variété de formes et de styles musicaux allant de l'opéra au récital en passant par des concerts de musique sacrée, du baroque à la musique contemporaine.

 

Elle a fait ses débuts en chantant le rôle de Zerlina dans Don Giovanni de Mozart à l'Opéra Royal de Versailles ainsi qu'en tournée, sous la direction de David Stern.

 

Ses rôles depuis, incluent Dorabella dans Cosi fan tutte de Mozart (également dirigé par David Stern), le rôle-titre dans Didon et Aeneas de Purcell au Théâtre des Champs Elysées, St. Gallen en Suisse et l'Opéra de Rouen, première et deuxième sorcière et deuxième femme dans le même opéra au Concertgebouw d'Amsterdam, à l'Opéra Royal de Versailles et au Bozar de Bruxelles (DVD Mezzo Oxymore), Ismène dans Orphée de Telemann à l'Opéra de Magdebourg, Bellezza et Hero dans Egisto de Cavalli à l'Opéra Comique, Opéra de Rouen et Grand Théâtre de Luxembourg sous la direction de Vincent Dumestre, Tisbe dans La Cenerentola de Rossini sous la direction d'Edmon Colomer et Glasa dans Katia Kabanova de Janáček sous la direction d'Alexander Briger, tous deux à l'Opéra de Toulon.

 

Entre 2015 et 2017, elle a chanté entre autres le rôle du Renard dans La Petite Renarde rusée de Janáček pour l'Arcal à Paris, Besançon et Reims, Cesonia dans Caligula de Pagliardi avec le Poème Harmonique, dirigé par Vincent Dumestre, à l'Amphithéâtre de l’Opéra Bastille et en tournée (DVD), Phèdre dans La Belle-mère amoureuse de Rameau à l'Amphithéâtre de la Bastille et elle fait ses débuts à l'Opéra de Marseille avec Fiodor dans Boris Godounov de Moussorgski sous la baguette de Paolo Arrivabeni.

Entre 2018 et 2021, ses engagements comprennent Papagena à l'Opéra de Marseille et la Troisième Dame à l'Opéra de Lille dans La Flûte Enchantée de Mozart, Octavian dans Der Rosenkavalier de Strauss à Sydney, Australie, ainsi que des reprises de La petite renarde rusée, Les P’tites Michu et Caligula. Elle interprète également Neptuno dans Coronis de Durón sous la direction de Vincent Dumestre et d'Omar Porras, Egisto à l'Opéra de Versailles et le rôle de la troisième nymphe dans Rusalka de Dvorak à Limoges.

 

Elle collabore régulièrement avec le Palazzetto Bru Zane en Italie et en France, elle a interprété le rôle de mezzo dans la production du Ventre de Paris à Venise, Milan et Paris. Elle a enregistré Il était une fois aux côtés de la soprano Jodie Devos et du quatuor Giardini et l’a donné à Venise, Paris et Montréal ainsi que la Messe de Saint-Louis-des-Français et L'Hymne sacré de Gounod avec Hervé Niquet et l'Orchestre philharmonique de Bruxelles. Plus récemment,elle interprète le rôle de Mlle Herpin dans Les P’tites Michu de Messager à Nantes, Angers et Paris.

 

En concert, Caroline Meng a chanté comme soliste dans la Messe de Kleinheinz/Mehul sous la direction de François-Xavier Roth et les Siècles au Concertgebouw d'Amsterdam, le Concert Royal de la Nuit avec Sébastien Daucé et son ensemble "Correspondances" (enregistrement Harmonia Mundi) à Versailles, ainsi qu'en tournée en Belgique et en Chine, Rosamunde de Schubert à l'Opéra de Limoges sous la direction de David Reiland, Requiem et Messe du Couronnement de Mozart, Gloria de Vivaldi, Messe en si bémol et le Trauermusik de Bach, Stabat Mater de Pergolèse et Requiem de Duruflé dans des églises telles que Notre-Dame de Paris, Saint-Sulpice, Saint-Eustache et La Madeleine.

 

En récital, elle collabore régulièrement avec les pianistes Fériel Kaddour et Masumi Fukaya et elle a chanté dans des festivals tels que le Festival d'Amman en Jordanie, le Festival de la Chaise Dieu, de Sablé, de la Côte Saint-André, la Maison de la Musique à Moscou, le Festival de Bruges en Belgique, le Château de Sierre en Suisse ou encore le Beethovenfest de Bonn.

 

Passionnée par la musique contemporaine, Caroline Meng a chanté et enregistré de nombreuses nouvelles œuvres, dont Psalm de Thierry Machuel, dirigé par Laurence Equilbey (CD Naïve), Deux Visages avec le saxophoniste Jean-Pierre Baraglioli (CD Daphaneo), Mémoire de Harpes, créé par Frédérique Cambreling et produit par l'IRCAM.

 

Parallèlement à ses performances en tant que chanteuse, Caroline Meng a été chef de chant au CRR de Paris et fait partie de l'équipe pédagogique du Choeur d'Enfants "Sotto Voce" dirigé par Scott Alan Prouty.

Ses engagements futurs comprennent les reprises de Coronis à Madrid, de Caligula à Liège, de La vie parisienne d'Offenbach à Liège,Toulouse, Limoges et Montpellier ou encore Marcellina dans Les Noces de Figaro sous la baguette de David Stern. 

Rôle de Neptuno - Coronis, Durón

 

"Caroline Meng en dieu de la mer (...) est absolument épatante, mettant une impeccable technique vocale et une voix fort sonore au service d'un personnage à la fois inquiétant et drôle malgré lui."

- Jean-Marcel Humbert, Forumopera, 06/11/19

 

"Le mezzo de Caroline Meng (...) , Neptune glorieux, l'emporte avec une rondeur et une chaleur d'aigus puissamment projetés."

- François Lehel, Opéra Magazine, 01/2020

bottom of page